La question quasi-existentielle posée naguère par Ducros est largement d’actualité chez les hagiologues, en particulier en Bretagne : à quoi ça sert qu’on se décarcasse si c’est pour lire toujours et encore la même resucée sur les sites Internet à destination du grand public ?
Si chez les spécialistes, on ne saurait le plus souvent trancher définitivement telle ou telle question, d’autant plus que leurs travaux génèrent en permanence de nouvelles interrogations, la moindre des choses, quand on prétend vulgariser, c’est de tenir son public au courant des dernières avancées en matière de recherche : il s’agit de respect envers les uns et envers les autres.
S’agissant de Goëznou, dont on parle ici, cet état de la question figure là (jusqu’à plus ample informé).
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